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 Huaah... Hey you, i am a maaaan...

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MessageSujet: Huaah... Hey you, i am a maaaan...   Huaah... Hey you, i am a maaaan... EmptySam 25 Fév - 18:13


    I'm a Maaaan... get it ?




    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

    © Yui Hirasawa de K-on!

    Nom : Lowson
    Prénom(s) : Dave (quoi que, s’appelant Alyson sous cette apparence...)
    Sexe : En théorie masculin... Mais le coup du sort fait que c'est féminin.
    Rang : I'm a Maaan... get it ? ~
    Orientation sexuelle : Hum... Du point de vue de garçon, ça serait hétéro... mais du point de vue physique, ça fini en homosexuel... c'est compliqué tout ça, on dira qu'on est perdu et qu'on verra...
    Âge : 17 ans.
    Origines : Anglaise ~

    Divinité servie : Bon, on va dire Pile, Oppse, face Layca... *lance la pièce en l'air* Pile ! Oppse !
    Élu dominant : /
    Grade : Simple pion.
    Don : Move point
    Une habilité pouvant avoir certains avantages, à condition d'avoir un esprit plutôt clair, et calme. Déjà, il faut savoir que ressentir de la douleur jusqu'à un certain stade rend incappable d'utiliser ce pouvoir, qui utilise surtout les capacités de réflexions.
    Imaginez un objet en contact avec le corps, ou quelque chose quelconque, et imaginez que vous puissiez téléporter cet objet à l'endroit que vous imaginez, où à une distance que vous estimez. La capacité se définit comme ça, le corps (point) permet de déplacer les objets par téléportation (move). Un pouvoir qui peut sembler facile, mais qui demande de calculer une distance précise. Si on téléportait des objets comme ça, cela ne servirait qu'à obstruer le passage... Mais maintenant, imaginez une utilisation plus forte. Si vous téléportait une feuille dans un crayon, en sachant que la feuille est plus grande que le crayon, que pourrait-il se passer ? Le crayon se ferrait trancher par la feuille. Pas compliqué à comprendre. si vous téléporter un objet dans un autre, l'endroit où il a été téléporté remplace la matière.Enfin, un truc comme ça... ça serait pas évident à expliquer en fait. Mais le poids des objets et la distance sur laquelle les téléporter dépend de la force de l'utilisateur. Un simple pion ne peut donc pas faire grand chose d'exceptionnel...

    Arme(s) utilisée(s) : A peu près tout objet pouvant passer sous la main en règle général...


    Description Physique :
    Les apparences sont trompeuses… Et c’est ça, qui rend les jeux amusants… Wanna try to play ? ~

    Laissons un instant l’histoire véritable en dehors de tout. Laissons seulement parler un côté qui est dépourvut de tout sentiment comme la pitié, pour nous faire un constat de ce qu’il est.
    Vous faites actuellement face à une fille. Une fille dans tout ce qu’on peut trouver comme point, à savoir une poitrine pas tellement plate, mais pas non plus à faire baver les adolescents et vieux à l’esprit, disons un peu pas droit voir tordu. Tordu comme… le monde dans lequel on est ? Ou un peu moins. En plus de la poitrine, des hanches dignes d’une adolescente en pleine force de l’âge… Vous l’aurez compris, c’est face à une future jeune femme que vous vous trouvez.

    Allons, baissez la tête… Il y a une hauteur d’un mètre 61 à voir. Pourquoi n’est-ce pas une mesure pile de 160 cm ? Tout simplement parce que 1 6 1 ça fait 8, et que 8 représente quelque chose de parfait, symétrique et ordonné. C’est pas pour autant que cette taille est parfaite. Les adultes ont tendance à ne pas prêter attention au fait qu’une fille d’une taille plutôt moyenne se balade, et avec l’apparence plutôt frêle et fragile, vous vous doutez bien que percuter quelque un revient juste à rebondir sur un mètre pour s’écraser au sol. Car oui, au vu des épaules que la fille arbore (enfin, que j’arbore, vu que je suis cette fille), la musculation et le bodybuilding n’ont pas du être des activités de premier choix. Peut-être que sous cette frêle apparence se cache quelque chose se rapprochant plus à la grâce et à la souplesse d’une gymnaste de club… En attendant, tout ce qu’on sait, c’est que l’apparence n’est pas celle d’une pro de la bagarre de rue. N’ai-je pas l’air si innocente avec mes fins poignets, ma peau plutôt pâle, semblant faite de porcelaine, qu’on voudrait me protéger ? Des épaules semblant capable de céder sous le moindre effort… Tout n’est que finesse et illusion de fragilité. Mais on parle d’une adolescente, donc ça casse pas si facilement… Mais ça peut quand même casser hein, je suis pas… indestructible-man, le stade secret évolué d’iron man !..
    Cette physionomie générale s’applique aussi aux restes du corps. Ainsi, un ventre plat et des jambes fines accompagnent l’ensemble, ajoutant une petite touche fragile à cet ensemble qui s’harmonise par lui-même. Mélangeant une taille petite, une apparence qu’on voudrait éloigner du danger… Et pourtant, dans pareil monde, une apparence comme ça laisse à penser qu’il peut y avoir un danger…
    Enfin, le seul danger notoire réside dans la violence d’une baffe… ou bien d’un coup de pied placé dans un point sensible d’un garçon. Ah, la force de la jeunesse…

    Bizarrement, dans ce monde, les apparences peuvent sembler un peu étrange. C’est pour ça que, pour on ne sait quelle raison, ma couleur de cheveux se retrouve un peu un mélange improbable. En majorité brun, de nombreuses mèches se retrouvent à tendre vers un gris de craie, avec des reflets blanc, blond et caramel. De plus, certaines mèches sont même d’un noir profond. Cet ensemble, semblant sortit tout droit de l’esprit d’un policier improbable, aussi bric-à-brac que l’esprit d’Adamsberg, cet assemblement improbable, digne d’une pyramide de légo faite par un enfant, résiste cependant de façon acceptable, et peut même être agréable à regarder. Quelle surprise de voir, au centre du visage, des mèches d’un bruns éclatant, pour finir par voir des mèches encadrant le visage, se dégrader vers une sorte de blanc laiteux ? Quel douces nuances peuvent se dégager, en voyant réunis les couleurs de 4 friandises agréables ? Caramel, chocolat au lait, chocolat blanc et chocolat noir, réuni en un simple ensemble ? A force, on pourra penser que les cheveux se mangent… Faites attention, c’est indigeste, ça fait des boules dans la gorge, et si vous savez que les chats vomissent des boules de poils, vous ne tenterez pas l’expérience. Pour se faire une idée, les cheveux mi-long semblent ne pas être coiffés. Certaines mèches ase échappant dans des directions contraires aux mèches générales. Mais même avec ce qui peut sembler une saturation, malgré ce volume de cheveux incroyable, on en vient à trouver que c’est beau. Pourquoi ? Eh bien, simplement parce que les reflets ressortent d’une façon mystérieuse, et que sur un visage gardant la marque de l’enfance, sans trait distinct, le fait qu’un tel volume parvienne à tomber sur les épaules émerveille les plus jeunes, et questionne les plus vieux. Mais comment diable, cet ensemble ne répondant pas vraiment à une logique, peut-il tenir la route, comment peut-on accepter que tant de nuances soient réunies en un endroit ?

    Et le visage.. Oui, il a les marques de la jeunesse, la légèreté de l’enfance. Des joues lisses, un nez que l’on pourrait manquer à cause des cheveux qui tombent dessus, une bouche hésitante, mais présente, sans s’affirmer sous sa douce couleur d’un rose effacé… La blancheur de la peau, l’ombre des cheveux venant apporter une coloration agréable à l’œil. Et quand on parle des yeux, comment ne pas remarquer ces yeux, grands et expressifs ? Un foutoir de couleur semble s’être effectué à cet endroit aussi, puisque sous la couleur marron caramel vient s’ajouter des reflets blancs, allant jusqu’au doré, et que la sombre iris vient nous accrocher, et on se demande : Où ai-je donc déjà vu cette chose ? Et on voit les cheveux. Et on se demande encore pourquoi un pareil ensemble chaotique vient à être si harmonieux. Dans un sens, ne peut-on pas voir là les restes de l’enfance, celle qui dessine n’importe comment, mais qui, même sans grand talent artistique, donne quelque chose qui fait sourire, et on se dit que cette intention, mignonne et innocente, est simplement adorable. Mais n’espérez pas voir les oreilles et le front de la jeune fille que je suis… Les cheveux cachent ces parties,.. Cependant, d’une certaine façon, il se dégage un air un peu masculin de ma personne… Allez savoir pourquoi.

    Pour accompagner ce physique qui semble étrange et improbable, correspond donc un style vestimentaire qui est banal et sans véritable intérêt. Peut-être des ensembles mêlant le blanc et le bleu, peut-être d’autre avec du blanc et du noir… Généralement, des teintes qui sont plutôt tristes viennent se mêler à d’autres teintes plus joyeuse. Cependant, n’espérez jamais voir des ensembles farfelus et excentriques… Car même si l’apparence semble être celle d’une fille un peu téméraire et déjantée… Il faut savoir que c’est un garçon qui se cache là-dessous. Pas d’opération ou autre… Si ce n’est celle d’une farce sadique, faisant passer un adolescent un peu excentrique qui aimait le sport, à celui d’une fille un peu banale…


    Description Mentale :
    Huaaah… Hey you, i’m a man you know.. ?

    Premièrement, vous l’aurez compris, je suis un truc à peu près étrange. Un garçon qui se retrouve dans le corps d’une fille. Bon, ok… Au début, c’était peut-être un peu étrange, je vous l’accorde, je me suis retrouvé un peu perdu, à me demander si je ne m’inventais pas des souvenirs. Sauf qu’au moment où on se souvient que notre nom est Dave… On se dit qu’on est pas réellement une fille.
    Il y a sûrement pleins de garçon qui verraient des points avantageux à ma situation. A peu près tous les ados en rut, qui sont désespérés de leur célibat et de se faire à chaque fois remballer comme des paquets à une belle-maman non appréciée. Et qui, de ce fait, se trouveraient fasciné de découvrir l’espace d’un instant les formes d’une fille. Juste parce que ce corps ne serait pas vraiment le leur, mais celui de la fille de leur rêve, et qu’ils en profiteraient un peu. Tout ça parce qu’ils ne savent pas à quel point ça peut être déstabilisant comme situation…

    Voyez-vous, avant j’étais un peu un truc bizarre, étant garçon. Peut-être pas vraiment intéressé par les filles, ou juste assez pour m’entendre avec et discuter, mais pas au point de les convoiter. Une sorte de truc bizarre, qui avait la rigolade facile, qui acceptait les discutions un peu déplacées avec les autres garçons, juste parce que c’était amusant de les entendre se faire des idées sur tout et rien… Et bien évidemment, j’étais une sorte de bon vivant. Pas celui qui a la talk attitude facile, étant donné que j’étais un peu solitaire étant petit et donc, je n’ai jamais réellement sut parler avec les autres. Mais disons que j’avais un humour facile sur tout et rien, humour qualifiable d’humour « Brrr ». Comme pour le froid hivernal. Celui qui rafraîchit souvent une ambiance tellement c’est ridicule, mais qui vous fait rire à cause du fait que ce soit minable. Une sorte de recordman d’ouverture d’huître, en encore plus amer dans la bouche. Pas de vin blanc pour passer ça, faut se lancer et aspirer l’humour. C’est pas très agréable, mais à force on s’y fait. Et même étant fille, ce point là n’a pas changé. Après tout, pourquoi changer ce qui fait que l’on est soit ? Sans mon humour, je ne serai pas Dave. Même en fille, je reste cette personne maintenant révolue, et je garde cette habitude -fulgurante et douloureuse- d’envoyer des blagues dans des situations variées. Vous espériez pouvoir faire un combat à mort le plus sérieusement possible, ou préparer un plan d’attaque ? Vous n’y couperez pas. La blague sortira à un moment ou un autre, et ça tranchera. Et ça vous la coupe, hein ? Pas à moi en tout cas…

    Du fait de faire de pareilles blagues, le ressentis que l’on a de moi est simple. On me prend un peu pour le personnage décalé et décapant, celui qui est là, et qui se fond dans l’atmosphère. Celui qui détend les situations, et que l’on attend à force. Pourquoi ? Tout simplement parce que sans ces petits jeux de mots pas plus cher qu’une cacahuète sont des choses dont on a l’habitude. Et au vu de la fulgurance et la qualité -médiocre-, on ne peut se demander qu’une chose. Ce gars… fille… est-ce un ou une génie ? Ou juste l’idiotie personnifiée, dans toute la force et la splendeur ? Vous avez un bon sujet de méditation, digne d’une épreuve scolaire. Vous avez 4 heures.

    Enfin, il est bien de se questionner sur l’humour et sur le casse d’ambiance, mais on va pas faire une dissertation non plus. L’idiotie, on a long à en dire, mais peut-être pas à ce point non plus. Alors on peut ajouter un élément tout à fait charmant, la maladresse. Et la malhabileté. Vous savez, ce qui fait que, là où tout le monde parvient à rester debout en marchant sur une plaque de verglas, mais qui pour une personne, fait qu’on s’écrase au sol ? Voila la maladresse. Et c’est aussi valable avec des objets qui traînent ou des objets insoupçonnés. De quoi faire des frissons, quand on voit la force de la chute… Et aussi, le second point. Vous savez, ce qui fait qu’on tient un verre, mais qu’il nous échappe des mains sans qu’on comprenne pourquoi ? Ou en faisant la vaisselle, on pose une assiette sur le support prévu pour, mais l’assiette se brise en deux à cause que l’on a pas remarqué avoir cogné l’évier avec ? Eh bien, si vous tenez à votre vaisselle ou à votre maison, veiller à ne pas laissez le sol humide, ou ne pas me laisser aider aux tâches ménagères. Il y a des catastrophes que l’on ne peut arrêter une fois lancées, et si ça peut faire rire au début, on s’en arracherait les cheveux après. Il est à savoir, que même étant garçon, je souffrais de cette maladresse. Mais un peu moins prononcé. Qu’est-ce qui a changé ? Un nouveau corps, différent de mon original, et qui a fait des sports différents de ceux que je pratiquais. Ce qui fait qu’il reste une difficulté à agir correctement. Quand on cherche à agir en athlète avec un corps de gymnaste… Entre saut en longueur et ATR, je vous laisse deviner les différences notables qu’il peut y avoir. Mais ne vous inquiétez pas, j’ai une bonne raison de faire de la gym maintenant, et c’est utile comme sport.

    Après tout, en gym, il faut savoir apprécier la beauté du geste, et la souplesse. Devoir garder un certain équilibre, une certaine maîtrise de soi. Devoir s’embêter un moment pour faire des figures de gym, ça forge à garder de la patience. Et parce que de multiples échecs ça énerve un peu, et parce qu’il est nécessaire de faire le vide dans sa tête pour garder sa position. Dans un sens, avec la tête vide, y a moins de poids, et de l’autre ça permet de s’évaluer soi-même. De s’auto évaluer, quoi… Mais on radote et on tourne autour. Disons que la patience, comparé au temps où j’étais garçon, avec la fougue et la vigueur de la jeunesse, celle qui, impétueuse, foncée dans le tas comme il n’est pas permit, on dira que ça a eu droit à sa dose d’eau froide. Ou de changement inopiné de corps…

    Enfin, vous l’aurez compris, c’est un caractère plus posé que j’ai. Aspirant peut-être un peu plus au calme et à la tranquillité par rapport au temps où j’avais facilement envie de me battre. Et peut-être que ce changement, pour la santé de mon corps, est un peu mieux…Après tout, vous voyez une jeune fille se battre contre un groupe entier, à mains nues en bagarre de rue ? Je ne pense pas qu’un caractère aussi téméraire soit possible maintenant. Il y a une différence entre le courage et l’inconscience. Dans l’une, on a au moins quelque chose dont on peut être fier. L’autre, c’est juste avoir de la gueule, si on veut. Foncer comme un sourd, parce qu’on veut l’faire. Et être écrasé au mur juste pour faire le beau. Même si le portrait que l’on monte plus tard ne l’est plus vraiment, mais ça c’est un autre problème…

    Enfin, si vous deviez retenir autre chose, mis à part mon humour à deux ronds de flan et la maladresse, c’est bien la tolérance que je peux avoir. Depuis que je suis sur ce monde, je me dois d’être un peu plus… Laxiste, si on veut. Aillant accepté le fait que l’on me voit comme un fille -même si, tous les matins, je vérifie pour me rendre compte que je le suis toujours- il se trouve que je continue à dire que je suis en fait un garçon. A toutes les personnes qui vont me dire « Oh, qu’elle est mignonne ! » je répondrai « Je suis un garçon… Vous savez ? » et, quitte à être regardé bizarrement, je garde cette volonté d’affirmer que je suis un garçon. Sans m’énerver parce qu’après tout… Ce n’est pas avec mon physique que je pourrai convaincre le monde. Donc, au lieu de pestiféré contre tout le monde et de me montrer un peu grossier, j’ai apprit -à mes dépends…- a accepter le point de vue des autres. Et peut-être que j’en ris un peu maintenant. Même si ça peut virer au rire jaune… Mais au moins, je me console avec une pensée. Y a sûrement pas que moi qui me trouve dans une situation aussi étrange et décalée…



    Signes particuliers : Peut-être l'étrange mélange de couleur que sont mes cheveux sinon... Je ne vois pas. Peut-être que sous ce corps de fille, se cache un garçon ? *pan*
    Talents spéciaux : A part celui de raconter des blagues toutes plus minables les unes que les autres, il y a peut-être le fait d'être un bon gymnaste...
    Aimez-vous les rhododendrons ? Quel rapport entre les rots d'eau d'Endrons (que je ne connais pas ce monsieur ._.) et... ce mouton multicolore chevauché par un truc rond improbable ? >< Mais on va dire que... mouais, ça passe ._. [C'EST PAS UN MOUTON ! C'EST UN GNUF ! Validé par Astaroth !]

    Votre personnage est-il victime d'amnésie ? Sur une majorité des événements importants vécus, oui... Cependant, le cerveau actuel n'étant pas le mien, je me retrouve assez souvent à devoir récupérer des souvenirs du corps dans lequel je suis...
    Citation : Les apparences sont trompeuses...
    Biographie :
    Attention, préparez-vous à rire Belzenef.. En écoutant une histoire pareille, vous allez vous moquer. Les mouchoirs sont à votre droite. Juste au cas où.
    L'histoire commence de façon tout à fait banale -et la majorité sera banale... Un enfant qui né dans un petit hôpital en Angleterre, Même s'il ne sait pas encore dans quelle famille il vient de débarquer. Que dire de cette famille ? Une mère au foyer, et un père qui est dans l'informatique. Un petit couple qui s'en sort bien dans la vie, en ce mois d'octobre plus pluvieux que jamais. On a même pensé qu'avec l'orage, la foudre allait s'abattre sur la ville, mais il n'y aura pas eu pareil évènement. Et c'est un petit garçon aux yeux fermés qui naquit en ce jour, en braillant comme tout bon nouveau-né qui se doit. Appelé Dave par rapport à un chanteur, le nouvel habitant de cette douce Terre avait rien d'exceptionnel. Si ce n'est des cordes vocales efficaces et l'affection de sa famille. Charmant début, n'est-ce pas ?

    Je vous parlais du père qui était informaticien. Pour la petite histoire, avant de rencontrer celle qui s'appelle Délia Elstern, alias la maman, cet homme d'environs 27 ans travaille dans une petite boite française normalement, où il travaille en alternance, tout en continuant ses études. C'est en rendant visite à ses parents qu'il a rencontré cette Délia, et il y a eu le coup de foudre. Mais ça, ce n'est qu'une information pour expliquer la suite de l'histoire.

    Le père, qui menait des études en France, a dut revenir pour l'accouchement en Angleterre, et c'est ainsi que le petit -moi, même s'il est normal qu'un bébé soit petit- obtenu une nationalité anglaise, et qu'il resta dans son pays natal pendant une année avant que la petite famille aille en France. On peut dire que le petit anglais est beaucoup plus français que britannique, mais ce n'est surement pas utile ou d'une quelconque importance vu qu'il a grandit jusqu'à ses 5 ans sans même prêter attention au fait que son nom était prononcé de façon différente par rapport aux autres. Mais au moins, il s'écrivait de façon rapide et simple. 4 lettres, de quoi apprendre en premier comment écrire son prénom à l'école. Vous vous doutez bien que le garçon, dont on voyait une couleur de cheveux brune et des yeux bleu -peut-être plus proche du saphir que du bleu océan- pouvait intriguer les classes dans lesquelles il a été. Mais au moins, il attirait l'attention et était entouré d'un petit groupe aux membres divers. La plus étonnante personne du groupe était surement Elliott, un jeune garçon de quelques mois plus vieux, et qui, malgré ses 5 ans, savait y faire dans la bagarre. Peut-être un peu plus que le protagoniste misérable que je suis, qui n'avait à l'époque que la capacité à lancer des regards dissuasifs à cause de mes yeux. C'est vrai quoi, avec des yeux si sombres et profonds, regarder de façon sombre était facile. Mais comme tout bon garçon qui se respecte, je me battais un peu avec ce fameux garçon, qui m'apprenait un peu à me battre. C'était plutôt utile, l'école dans laquelle j'étais était en froid avec une autre. Pas dans le genre la guerre des boutons, mais plutôt comme deux lycées qui se battent pendant une certaine période, à coup de farine et d’œufs... Bon appétit. Mais c'est dans ce petit cadre de bagarre de primaire qu'on pouvait voir lesquels étaient destinés à la baston. Entre les deux têtes brûlées de notre école -Elliott et moi-même, et le groupe de l'autre école, on voyait clairement la différence. Même couverts de bleu, on continuait à se battre. La douce témérité de la jeunesse... Quelque chose de merveilleux qui valut des problèmes avec des parents.


    " Mais maman... c'est pas ma faute, il avait avancé son visage de mon poing, s'il a une dent cassé c'est pas ma faute !"

    Une belle argumentation hein ? C'est à peu près dans ce genre là que je me défendais, sous le rire d'un père qui avait également été comme ça, et le soupire d'une mère désespérée par son propre fils. Cette situation aura au moins duré quelques années, jusqu'au collège. Et bizarrement, jamais je n'ai été séparé de mon comparse.

    On a roulé notre bosse jusqu'au collège, avec le même gout pour le combat. Mais à cet âge là, on a un peu plus de force, et on s’intéresse aussi à d'autres trucs. Nous, c'était le club d'athlétisme. On peut dire qu'on avait fortifié notre corps pendant l'école primaire, et le fait de nous dépenser ainsi nous convenait parfaitement. On avait même participé à une compétition locale. Mais c'est à partir de la 3e que l'on rencontré une certaine personne...
    Vous voyez l'apparence que j'ai maintenant ? Eh bien, c'est la légitime propriétaire, qui arriva dans notre classe alors que nous étions en 3e. Peut-être un peu timide, mais au moins elle était sympathique. Elliott s'était sentit obligé de l'aborder rapidement en me trainant, mais je pense que le physique de mon allié pouvait quelque peu impressionné. Là où de mon côté, je ne semblais pas avoir vraiment prit, lui ressemblait franchement à un athlète. Des bras et jambes développés, une taille plutôt grande... Je comprenais rapidement pourquoi la jeune fille s'était sentit mal à l'aise. Je mit rapidement court à la discussion, et me promit de lui présenter des excuses le lendemain. Ce qui se passa plutôt bien, elle eut même un fou rire en écoutant notre douce histoire d'une enfance marquée par d'innombrables affrontements... Oui bon, ça a l'air épique dit comme ça, ça pourrait laisser penser à du Ken le survivant, mais il y avait un peu moins de sang et de spectaculaire.
    Au moment où j'entrais au lycée, on peut dire que le destin était de nouveau souriant puisque je me retrouvais dans la même classe que mon équipier de combat -à force, ça en fait des surnoms...- et de la fille-dont-le-corps-est-maintenant-le-mien. Je tiens à préciser que c'est à cette époque que j'avais décidé de laisser mon côté excentrique se libérer, en me teignant les cheveux avec une couleur d'un bleu foncé tendant vers le noir...
    Et sans donner de détail, je dirai que quelques années plus tard, à la fin du lycée, je dus essayer de sauver cette fille d'un petit groupe, ce qui nous conduisit à mourir en même temps à l'hôpital. A la vie, à la mort... Mais le destin aura eu raison de moi, en m'envoyant dans un monde où la logique ne semble même pas vraiment être présente.
    Alors, je l'avais dit non ? Une histoire fichtrement pas intéressante. Mais bien évidemment, la majorité a disparut de mon cerveau et il est probable que je ne puisse jamais m'en rappeler...




    Test RP
    Un bruit lointain, quelque chose qui s’apparente à un rire… Un son qui se répète. Mais pourtant, quand on l’entend, que le cerveau le répète sans cesse quand on essaye de se réveiller, on se demande juste *j’suis pas entrain de devenir fou là ?* et pourtant, il est bien présent. Un écho qui ne pousse qu’à se réveiller, à ouvrir ses yeux, pour se rendre compte qu’on y arrive pas encore. Que le corps ne semble pas vouloir répondre. Rien ne répond. Mais au milieu de ces « lo ! » incessant, des choses revenaient lentement dans mon esprit. Des souvenirs peut-être… ? En tout cas, un mal de tête me prenait, comme-ci des visions différentes se superposaient.
    Dans la première, je me voyais acculé et entourait par un groupe de garçon… Non, d’adultes. La deuxième, je me voyais hors du groupe, entrain de courir.

    Douloureux… Et pourtant, le premier souvenir semblait s’effacer de lui-même, pour n’être qu’une pensée. Une chose se rapprochant plus de l’idée que de l’impression de vécu. Mais qu’avais-je vraiment vécu ? Je voyais clairement un garçon à l’apparence reconnaissable arriver. Mais en même temps, ce garçon… C’était moi. Pourquoi ? Mais pourquoi suis-je… Ici, et là-bas à la fois ? Une nouvelle pique de douleur se laissait sentir dans mon cerveau, pendant que mon corps se contractait, se serrait en boule, et qu’un mécanisme instinctif plaçait mes mains sur ma tête. Et je pressais ma tête, comme ci le fait d’appuyer pouvait apaiser cette douleur vive, cette sorte de choc électrique.

    Je le sentais, ces deux vues en même temps formaient la vérité sur ce qu’il s’était passé… Les deux souvenirs restaient, mais étant de deux personnes, ils ne pouvaient pas réellement coexister. Donc, si un point de vue disparaît, il ne resterait qu’en une idée. Donc, il fallait accepter l’une des vérité, et mémoriser la seconde. Mais je n’étais pas dans l’état de me décider. Tout ce que je faisais,c’était voir ces choses arriver. Un long cri, d’une voix d’un adolescent presque adulte, d’au moins 17 ans. Son apparence, cheveux bleu et yeux saphir… Oui, c’était bien moi. Mais alors, si je suis là, qui est la personne qui voit ? Qui suis-je, pour me voir en dehors de moi-même ? En essayant de me concentrer, c’est la vue par le regard du garçon qui arriva. Une fille, effrayée, contre le mur, entourée par le groupe. Quand le coup du garçon arriva sur le côté du visage d’un des hommes. Un bon coup, qui fit tomber l’homme, et surprit tout le groupe. Mais quelle réaction avais-je eu, moi ?

    La fille hurla un incertain
    « N… Non ! Vas-t-en ! » auquel le garçon ne répondit pas, préférant s’interposer et essayer de me rassurer… De se rassurer… ? C’est compliqué… Mais la vision du garçon semble être, d’une certaine façon, la plus rassurante, et la plus stable. Mais je suis ce garçon… Et cette fille est une membre de ma classe que je connais depuis la 3e. Et on est en terminal, dans la même classe… Mais pourquoi un groupe d’adulte s’en prend à elle ? En tout cas, le vague souvenir d’un rendez-vous me revient en tête. Ou plutôt, du fait qu’on devait tenir un groupe d’étude avec Elliott, pour les examens du lendemain. Etant donné qu’il arrivait toujours en retard, et moi de façon ponctuelle, ça voulait dire que la fille -répondant au nom d’Alyson- devait être arrivée un peu en avance. Et son physique ne semblait pas déplaire à ces messieurs, et le fait qu’ils essayent de la toucher à certains endroit avait fait tourner mon sang. L’instinct de l’enfant bagarreur s’était réveillé, et j’avais donc décoché un sublime coup de poing dans la tête d’un des hommes… Voila de quoi le remettre à sa place.
    La phrase de mon amie, qui m’avait dit de m’en aller, me fit me demander les raisons à ça… Les connaissait-elle ? Ou me trouvais-je dans une situation plutôt dangereuse ? Enfin… Vous me direz, du 4 contre 1, c’est sûrement dangereux. Eh bien, je venais juste de le remarquer. Ah, la fière jeunesse impatiente et impulsive que voila, dans toute sa splendeur. Vous vous en doutez, face à 4 adultes qui ne sont visiblement pas informaticien, mais plus proche d’être des trafiquants, on peut dire que la suite des évènements se passerait mal.


    « Choppez moi ce petit con ! On va lui apprendre la vie ! Et laissez pas la fille se faire la malle surtout ! »


    M’apprendre la vie ?! Non mais, ils me pensent aussi faible que ça ?! Ils apprirent à leur dépend à ne pas se méprendre parce que la personne qui nous fait face ne semble pas être boxeur professionnel. Quelques dents cassées, un nez qui suivit le chemin, ce fut cependant un court combat que je menais, avant de me faire attraper, et s’en suivit ce qui semblait logique. Une série de bons coups dans l’estomac, de quoi plier les plus tête brûlées. T ils y allèrent pas de main morte en plus. C’était sûrement la première fois que je me retrouvais une fois lâché, plié à terre, à me tenir l’estomac en toussant, en sueur. Eh bien… La lâcheté a aussi sa force, et elle peut faire mal. Mais en me laissant comme ça, ils m’avertissaient que si je revenais, je prendrai cher, et ils commencèrent à attraper le bras de la fille apeurée, pour l’embarquer. Pas question d’abandonner maintenant…
    Attends… Mais pourquoi j’ai autant de détail en mémoire ? Quand j’essaye de remonter, je ne trouve que de vagues impressions. Et le rire semble s’être calmé… Il n’y a plus aucun son. Ma tête me fait moins mal, et tout semble couler de façon naturelle, la suite des évènements venait normalement, alors que mes mains glissaient sur mes cheveux, pour retomber sur mon cou…


    « Laissez là… Lâchez-là, et… Maintenant…! »

    Crachant mes mots plus qu’autres choses, en me relevant de façon incertaine, je me précipitais sur le premier à porter, avant de prendre un nouveau coup. Au final, je ne pouvais rien faire. A part prendre des coups de plus en plus intenses, de sentir mon corps entier comme entrain de brûler à cause de la douleur. Mais à force, j’avais l’impression que je me cassais. Du moins, mes côtes commençaient à céder sous les coups. Mais une fois tombé, une nouvelle fois, à terre, ils décidèrent d’une chose en rigolant. Et s’ils faisaient subir la même chose à la chère protégée ? Peut-être nous prenaient-ils pour un couple… En tout cas, en me tenant au sol -même si je ne pourrait probablement pas me lever malgré la plus forte volonté- ils firent subir le même traitement à Alyson, même si elle n’avait pas la même résistance que le corps d’un adolescent qui avait traîné dans des bagarres pendant son enfance. Et c’est ainsi qu’ils la laissèrent à côté de moi.
    Pourquoi personne n’avait bronché ? Pourquoi personne n’était intervenu, où avait prévenu la police ? Eh bien… Parce qu’ils avaient peur, tout simplement. Ils avaient une belle voiture. Le genre que l’on a pas en travaillant honnêtement pendant toute sa vie. Et face aux riches, les pauvres ou le commun des mortels s’écrase. Mais au moins, ils nous laissèrent là, sans continuer, même si on ne tarda pas à finir dans le noir total.

    L’une des dernières choses que j’aurai retenu, c’était la chambre d’hôpital dans laquelle je me retrouvais. Avec Eliot mon chevet, ainsi qu’à celui d’Alyson… Qui avait été mise dans la même chambre que moi. Après tout, pourquoi séparer des amis alors qu’on savait qu’ils n’allaient pas survivre ? C’est un destin macabre, j’étais resté éveillé seulement quelques secondes, le temps que mon comparse prévienne les infirmières, mais deux bruits sourds et longs, simultanés, et quelques instants ainsi classèrent l’histoire. Deux vies s’étaient éteintes. Juste pour l’amusement.

    Et maintenant… Le rire venait de reprendre, une seule fois, et d’une voix légèrement enrouée, mais dont je n’avais pas le souvenir d’avoir, je le répétais faiblement…

    « N… Nyolo..? »
    Mais sous cette sorte de rire étrange se cachait une vérité tout à fait impensable… Un maître manipulateur qui m’avait placé sur un macabre échiquier, mais qui en plus de ça m’avait offert une sublime blague pour m’accueillir..
    Alors que mes mains descendait vers mes côtes -là où mon souvenir m’indiquait que je devais avoir mal- il se trouvait qu’en descendant, j’avais remarqué un détail qui n’aurait pas du être là. Enfin, 2 détails, pour être exact. Et lorsque les mains s’y arrêtèrent et appuyèrent pour vérifier qu’il n’y avait pas de blague, un long hurlement d’incompréhension et de surprise s’échappa de ma bouche.

    Si on devait dire une chose se serait… Bienvenu dans Alea Jacta Est, ma chère Dave… Parce que vous êtes une fille, mais en vrai un garçon !



Dernière édition par Dave Lowson le Mar 13 Mar - 19:36, édité 1 fois
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Belzeneff
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MessageSujet: Re: Huaah... Hey you, i am a maaaan...   Huaah... Hey you, i am a maaaan... EmptyMer 29 Fév - 0:10

    Sans contrefaçons, je suis un garçon !

    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
    En jupe parce que c'est
    tellement plus masculin !
    Hé m'zelle ! Vazy là t'es trop bonne ! T'as pas un 07 ? Non mais wesh fais pas ta tepu à dragon, nyolo !
    Ola nyolo ! C'est quoi ton p'tit nom ? Dave ? Alyson ? Davyson ?
    Entre le rhinocéros et l'éléphant, qui est-ce qui gagne ?
    Pourrions-nous connaitre la taille de ton tour de poitrine ? Non mais c'est pour mettre sur ton passeport Belzeneffien D:
    Si tu étais un plat tu serais quoi ?
    Et quel est ton genre de garçon ? Euh de fille ? Euh nyolo on sait pas ._.
    Enfin as-tu un mot favori en anglais ?


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MessageSujet: Re: Huaah... Hey you, i am a maaaan...   Huaah... Hey you, i am a maaaan... EmptyMer 29 Fév - 11:10

    Sans contrefaçons, je suis un garçon !



    [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
    En jupe parce que c'est
    tellement plus masculin !
    Hé m'zelle ! Vazy là t'es trop bonne ! T'as pas un 07 ? Non mais wesh fais pas ta tepu à dragon, nyolo ! Euh... Moi pas comprendre le... Zeneffbel ? Et j'suis pas M'zelle, c'est M'sieur, nuance.
    Ola nyolo ! C'est quoi ton p'tit nom ? Dave ? Alyson ? Davyson ? Bah Dave voyons... Mais les gens préfèrent m'appeler Alyson à cause de l'apparence. Aller savoir pourquoi... Mais si tu veux t'amuser, va pour Davyson...
    Entre le rhinocéros et l'éléphant, qui est-ce qui gagne ? Je sais pas. J'en ai pas souvent vu des combats de rhino contre éléphant... Et toi, t'en as vu ?
    Pourrions-nous connaitre la taille de ton tour de poitrine ? Non mais c'est pour mettre sur ton passeport Belzeneffien D: *soupire longuement* Je ne crois pas nan... C'est pas un truc qui regarde Belzi, même s'il a une grande volonté.
    Si tu étais un plat tu serais quoi ? Des spaghettis à la bolo *-* Parce que c'est simple, c'est bon et pas compliqué. Tout pour les flemmards '-'
    Et quel est ton genre de garçon ? Euh de fille ? Euh nyolo on sait pas ._. Pauvre Belzi... c'est nyolo complexe hein ? Je pense que genre de fille correspondrait mieux. Je suis un garçon malgré tout, non mais. Je dirai les filles brunes, sympathique et pas trop bavarde sans être des images ? Et belzi,
    Enfin as-tu un mot favori en anglais ? Oui. Damn. C'est multifonction comme un clinex, tu trouves pas ? Le matin quand tu te cognes dans un truc, le soir quand tu te prends une porte... Où quand on te dit "vazy t'es trop bonne" aussi.
Bon, j'avais pas d'inspiration pour le questionnaire, même si j'ai aimé le commentaire sous l'image >w<
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Oppse
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MessageSujet: Re: Huaah... Hey you, i am a maaaan...   Huaah... Hey you, i am a maaaan... EmptyVen 2 Mar - 14:26

Bonjour Dave !

Merci de ton inscription jeune fi... homme et désolée pour le temps de validation.
Donc, donc, fiche détaillée et bien écrite pour un personnage simple mais attachant. On voit qu'il y a de l'effort, félicitations ! Attention néanmoins aux fautes qui gâchent ta jolie plume. Le pouvoir a l'air compliqué mais intéressant : j'ai hâte de voir comment tu comptes l'exploiter pendant le RP.

Sans plus attendre je valide.

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Je te place sous la tutelle du parrain Violet dans l'attente d'un nouvel Elu.

Amuse-toi bien et bon RP !
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MessageSujet: Re: Huaah... Hey you, i am a maaaan...   Huaah... Hey you, i am a maaaan... Empty

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