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 Vogue, vogue, petit bateau.

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MessageSujet: Vogue, vogue, petit bateau.   Vogue, vogue, petit bateau. EmptyLun 8 Aoû - 14:08

    Le soleil était haut dans le ciel, mais les arbres et leurs cimes touffues les masquaient à la vue de la petite hybride en contre-bas. Celle-ci enjambait vaillamment les troncs d'arbres, grimpait les buttes, sautait par-dessus les trous. Sa petite taille ainsi que le lourd panier qu'elle portait dans la main droite rendait peut-être les choses plus difficiles, mais sa grande agilité et ses douze petites amies attentionnées l'aidaient grandement. Son périple durait déjà depuis une heure, mais touchait à sa fin. En effet, elle pouvait entendre le gargouillis paisible de la rivière, sa destination. Et, dix petites minutes plus tard elle pouvait enfin la voir. L'eau était claire, le courant faible. Elle pourrait même se baigner avec les souris une fois le pique-nique terminé. Car voilà ce que contenait son petit panier d'osier : des victuailles pour tout un régiment.

    Arrivée au bord de la rivière, l'hybride mi-souris mi-humain déballa le contenu de son panier, entourée de ses douze souris. Les petites créatures formaient un arc-en-ciel très coloré, ainsi qu'un échantillon fourni d'humeurs différentes : les uns se battaient entre eux, d'autres attendaient sagement, certains exploraient leur environnement, et enfin, quelques uns faisaient leur toilette. Jerry sourit en les observant, puis sortit ses plats les uns après les autres. Elle les disposait sur une grande nappe plus toute jeune que ses petites amies avaient tendu pour elle. Il n'y avait pas âme humaine qui vive à des kilomètres à la ronde. La faune, en revanche, était très abondante et Jerry avait put apercevoir quelques cerfs, des lapins, une foule d'écureuils et des oiseaux en tout genre. Elle aimait la forêt, sa vie saine et pure, le calme qu'elle offrait, l'isolement.

    Enfin ils purent commencer à manger. Les souris, bien qu'elles soient petites, pouvaient ingurgiter une quantité impressionnante de nourriture, tandis que Jerry n'était pas à plaindre non plus. Pendant tout le repas, la conversation mentale allait bon train. Tous les sujets y passèrent : le temps, le futur, Maena, Layca, Oppse, Jerry, la nourriture, les souvenirs... Puis vint le moment d'aller se baigner. Jerry ôta sa robe et se retrouva un petite culotte blanche bouffante, ainsi qu'en brassière. Cette dernière était d'ailleurs bien inutile au vue de sa poitrine très maigre. Elle avait pourtant dix-sept ans mais en paraissait treize physiquement. Elle entra la première dans l'eau, et les douze créatures vinrent se mettre au sec sur ses bras, ses épaules et sa tête. Cela fit beaucoup rire la jeune polonaise. Les souris les plus téméraires, essentiellement les mâles, risquèrent une patte dans l'eau, puis s'y jetèrent franchement. Elles furent vite suivies par les autres, mises en confiance par la réussite de leurs congénères. Il fallait néanmoins qu'elles restent près du bord, sans quoi le courant aurait tôt fait de les emporter.

    Jerry et ses souris colorées jouèrent dans l'eau vingt bonnes minutes avant que l'hybride et ses sens plus développés que la moyenne ne perçoive la présence d'un étranger. Elle entendit d'abord ses pas, ses gestes pour écarter les feuillages, puis sentit distinctement son odeur, avant de le voir émerger des buissons. Aussitôt, les souris sortirent de l'eau et se placèrent en deux rangs serrés devant Jerry, dont seuls les yeux et les oreilles dépassaient de l'eau. Tout ce petit monde considérait le nouveau venu avec suspicion, attendant qu'il montre une preuve de ses bonnes intentions.
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MessageSujet: Re: Vogue, vogue, petit bateau.   Vogue, vogue, petit bateau. EmptySam 17 Sep - 19:37


La cage grande ouverte, Tom dévora Jerry.


T'arrives pas à suivre? T'aime pas? Reste dehors.
Il y a des forêts qu'on ne peut imaginer sans les voir. Y'en a d'autres que tu ne peux voir que si tu les imagines. Il y a de tout, pour tous les goûts. C'est un genre, en fait. J'suis plus dans la trempe du second groupe. J'vois des arbres fruitiers pourris offrir leur progéniture, j'entends tout ce que j'aime en passant près des souches, les plumes qui viennent à mes pieds me bordent comme un gosse. J'aime cette forêt. J'aime. J'aime quand ça hurle. Quand ça s'étouffe. Quand ça ne respire plus. Un hurlement terrible, rauque, sur ses basses terriblement puissantes. La voix déchirée, et tellement bien jouée que fondue à tel point qu'on croit que c'est réel. Le genre où tu as besoin de faire une pause. Ca commence calme, ça s'entrechoque cinq secondes plus tard. C'est violent. C'est brutal. On comprend rien, ça n'rime à rien. C'est trivial, même. T'sais, c'est le genre à s'envenimer pour rien. Le genre à te cracher dessus si t'es laid, ou tout simplement si t'accroches pas. T'es dans un rêve sélectif. Si tu ne correspond pas, on te jette. C't'une philosophie comme une autre, après tout. J'vois un train. Ces énormes machines à vapeur de l'époque. Un nuage super épais, noir, noir. Charbon. On est obligé de le réalimenter pour pas qu'il s'arrête. Toujours plus performant. Il est blindé de monde. Pour l'attraper, il n'y a plus qu'à courrir. Toujours plus vite. Tu connais les athlètes? Maintenant, j'sais ce que c'est. Et j'cours. J'cours comme un taré. J'veux l'attraper, ce putain de train, alors jusqu'au bout j'me bats. J'me bats comme un fou. Comme un fou. J'm'épuise. J'm'ésouffle. J'arrive plus à respirer. J'aimerai enl'ver l'masque, mais c'est pas possible. Si j'm'arrête, j'perds de vue le train. alors j'cours en m'étranglant. C'est une mort conne. M'en cogne. J'suis à fond. Les obstacles, y'en a plus aucun. J'cours. J'fuis. Ne te retourne pas. Jamais. Une souche, facile. T'y saute par-dessus. Et tu continues. Quand les creux sont trop profonds, tu choppes la branche alignée à son crâne, celle qui trône en hauteur, et avant d'la briser, tu t'en sers de balance. Ca marche. Tu cours pour pas perdre le rythme, le train. Saloperie de machine, quand t'y penses. Enfin, tu te dis que ça t'occupe. En soi, y'a pas que du mauvais dans leur délire. J'suis en train de crever. Salaud. Et j'm'en fous, je cours. J'cours. Hors de question que tu me dépasses. Et j'suis à fond, t'sais quoi. À fond. J'lâche rien. J'aimerai hurler, mais j'peux pas. À cause du masque. Tu t'éfforces toi aussi. J'te sens faiblir. Je suis un lion. Je suis un dieu. Maena. Moi. J'peux que gagner ma place dans les rêves. J'peux qu'obtenir mon gain. J'veux pas perdre aussi connement. Alors j'continue.
Comment faire pour paraître normal? T'es juste complètement fou, Maena. Tu te laisses aller comme une merde. Est-ce que tu comprends pourquoi tu cours comme ça? Tu ne sais même pas pourquoi tu es là. Osmose, c'est le mot que tu emploies pour te rassurer. Mais toi-même, tu comprends rien. T'es malade, tu comprends pas? Ressaisis-toi, Maena! Tu vaux mieux que ces chimères...
Bordel! Aller, putain, cours! Le perds pas, le perds pas!
T'arrives pas à suivre? Tu n'accroches pas? Renonce à tes rêves.

Arrête ça! Arrête!
Tu délires. Encore.
Putain, lâche l'idée, vieux. Ca rime à rien, tes conneries, arrête.

J'adore les rêves. Les barils de pétrole qui poussent dans les arbres, des fraises radioactives et pourtant bonnes pour la santé. Quoi, mutation génétique oblige. Et alors quoi, vieux. J'comprends rien à ce monde. J'le sais, en plus. J'connais personne. J'suis dans le monde hostile. Je suis Maena, l'enfant perdu. Le félin affamé. L'instinct de survie cruel. Glissade sur le tapis d'épines de pin. Roulade après le saut du rocher. J'aime la liberté. Je suis libre comme l'air. Je suis libéré de toutes mes chaînes, vieux. J'peux courrir comme je veux. Je peux faire ce que je veux. La faune m'est annexée. Je suis devenu Elu. Je n'aspire à rien d'autre qu'à la paix, la tranquilité. Combattre? Je suis le roi. Un coup d'état? Les gardes s'en chargeront. J'ai tout pour moi. Un corps séraphique, une voix inqualifiable tellement magnifique, le pouvoir absolu. J'ai tout. Toutes les cartes en main. J'ai les quatre As, cherche pas. T'es foutu. Foutu. Et je cours, moi. Je cours. J'suis heureux comme tout. Je cours. Glisse, esquive, contourne, dépasse, attrape, projette. C'est un rêve, vieux. Un rêve. J'suis trop bien. J'détale comme un lapin. Je suis le plus agile des fauves. Je suis le plus grand des piafs. Je plane sur ce monde comme Icare songe à ses cieux intrépides. Avec plus de conviction que n'importe qui. Je ne suis pas n'importe qui. Je suis Maena. Je suis un dieu vivant.
Tu n'arrives pas à suivre? Tu es perdu? Lâche l'affaire.
Arrête. Tu vas faire une connerie, j'te dis. Allez, Maena, calme toi.
S'il te plait, Maena. S'il te plait.
Ta tête est en train de pourrir. Le mille-feuille dans mon assiette a le goût de l'amour. Ce qu'on te sert ne ressemble pas vraiment à un moelleux au chocolat. Le choix entre cette ravissante tarte tatin et ce flan sanguinolent est vite fait. Il n'y a pas de tripes, dans ce menu? La sauce à la fraise est succulente. Les yeux de chiot confis ont plutôt bon goût. La réverbération des chants des oiseaux me donne des envies peu catholiques. Désillusion bornée, demain sera à toi. Danser une valse, rythme endiablé. T'aimer jusqu'à ce que le crépuscule devienne aube, le temps nous est compté. Tout au plus, un objet du désir... Mais demain sera à toi. Mon iniquité est mon envie solitaire. Regarde en direction du sol, fils de soie frivoles au gré du vent. Tes charmes, tes mots d'amour, serviront d'épices. C'est l'intérieur d'une nuit profonde, disparition, agitation. De part la Lune, être les Maîtres des Mondes. Juste deux incarnations gustativement parlant comestibles pleines de tristesse. Oubli des perspectives, paradoxe des axes abscisses-ordonnées. Embrasse l'air. La voix des volatiles fous, le délaissement des infirmes. La danse des ténèbres, dansons pour fuir. Ma langue contre ta peau, mon extase palpable. Frémissement, piste de danse esclave. Griffes parcourant nos corps, juteux, candides. Mais non. Je l'ai léché jusqu'au moindre recoin. Mais non. C'est l'ingrédient secret. Mais non. Ce miel doux qui glisse le long de mon gosier. Mais non. Nous ne pouvons nous permettre tant de laisser aller. Déconvenu. Manquement critique aux règlements. Lois transgressées. Lâche. Deux entités se sont séparées, pour échapper au rêve de l'éternité. Arracher les mensonges, panser la sincèrité, décevante réparation. Seulement toi, aussi, à présent, tu es cassé. Formes diverses. Oyez. Bien que nos mains ne soient pas connectées, tellement vrai, que nos liens sont déchirés. Aussi longtemps que j'existerai... Jamais je ne t'oublierai.
Et le rien c'est ce qui fait tout.
Déconne pas, Maena. Allez, lâche-moi. Fais pas l'con, j'te dis, fais pas l'con. Lâche-moi, lâ...!

Je tiens ma proie comme je tiendrai mon butin. Et je manque de glisser. C'est ça, l'déshonneur? Le roi est mort, vive le roi.

Ouah! ... Putain, c'était quoi ce rêve de dingue? Merde, j'ai rien pigé... Bon, d'accord. J'suis où, là, en fait? J'sais pas, j'vois rien, mes bandages se cassent la gueule. C'te loose, j'te jure... C'est quoi, ça...? De l'herbe? Mais qu'est-ce que je fous le cul dans l'herbe, enfin?! Bon aller, relève toi, vieux, tu vas t'chercher un truc à boire et tu rentres chez Layca.
Y fait chaud, putain. J'ai l'impression d'fondre. On se croirait en plein été... Quoique j'ai aucune idée de comment ça se passe les saisons dans ce monde de barrés. Puis, j'sais pas, y'a un truc qui m'démange... Ah si, j'm'en fous, c'est ça. J'ai soif, merde. Y'a pas un putain de point d'eau, dans l'coin? Pour une fois que je cherche de la flotte... Si ça se trouve, de marcher par là, ça va m'ammener jusqu'au désert. Ah j'aurai tout gagné, pour le coup. J'me laisserai crever d'faim, si jamais j'débarque là-dedans. Fait trop chaud pour marcher, ça va pas. En plus, c'est pas comme si j'étais torse nu ou quoi, nan, j'ai toujours cet énorme sweat de merde sur le dos. Ben tiens, j'l'enlève. Ca f'ra ça d'moins. J'suis toujours beau, même sous ce soleil de plomb. Tant mieux, remarque. Puis c'est légitime, de toutes façons. Bon. J'fais quoi, je marche? J'ai une de ces flemmes, putain... Ouais, non, pas assez nerveux. J'vais courir, ça va être terrible.
J'adore les obstacles. C'est trop trippant. Enfin, c'est distrayant. C'est pas commun. Impossible de m'attraper une fois sur le fil. Je suis intouchable. Je suis complètement taré. C'est ça qui est bon.
Arrête-toi, Maena!
De quoi?
Lève les yeux, regarde autre part!
... Putain!
D'où ça sortait? Merde! C'est quoi c'délire? C'était quoi? Non... Les chiens d'Oppse? C'est pas possible... Putain, dégage de là, dégage. Cours, cours aussi vite que tu l'peux.
Et le piège de Jerry fit fuir Tom. T'arrive à suivre, en fait. Au temps pour moi.

Mais c'était quoi, sérieux?... Une souris?
Ca m'fait penser à l'autre gonzesse de chez Layca... Celle avec ses ch'veux gris, que c'est ridicule. Putain... J'sais plus son prénom, j'sais plus qui c'est, laisse tomber. Enfin qu'à cela ne tienne, tu crois pas que j'vais rester là sans rien faire, quand même. Je cours après cette chose apparue devant moi comme un boulet de canon. J'crois même que c'était une souris. Mais une souris flashy, je sais pas si on m'croira. Quoiqu'on a bien des gnufs. Ouais, en fait, plus rien va les suprendre, chez Layca. Puis merde, j'parle à personne, alors qu'est-ce que j'fous à m'demander qui pensera quoi? Putain, c'que j'aime pas les buissons. Y'a toujours des ronces, là dedans. J'suis obligé de ralentir, de marcher. C'est chiant, comme excursion. C'est la dernière fois que j'suis une connerie de bestiole. J'vais atterir dans les montagnes, tu vas voir. ... Putain, jamais ça finit, c't'histoire? Ah, enf/ AÏE! Saloperie! Putain, elle est rentrée dans mon torse, la pute! Rha... Aller, connasse! Roh puis merde, ça sert à rien, j'me casse. J'écarte une branche, encore une, et j'tombe sur quoi? Une armée d'souris. Rien que ça. Et en prime, j'ai la reine souris dans son bain en direct live. Dis, j'suis vraiment un roi.
Sous le masque, un sourire pervers. Attends, c'pas tous les jours qu'on voit la reine souris en action. Et quelle action, putain. J'approche. J'me méfie de ces conneries de rongeurs. J'aime pas ça, c'est con. Et j'fais quoi, en plein milieu? J'enlève le masque. Fait vraiment trop chaud, en fait. J'm'accroupis près d'une nappe et d'un panier à pique-nique. J'vois pas l'intérêt de pique-niquer avec des souris, m'enfin. La gamine doit avoir ses raisons, j'suppose. Y'a toujours les bandes, que j'écarte un tantinet. J'ai trop faim, et y'a une pomme à côté. Une pomme, quoi. Une pomme, c'est la vie. Alors j'la prends, et j'y croque dedans. C'est tout. J'adore les pommes. C'est une pomme bien verte, très jolie. Un très beau fruit. Presque aussi beau que moi. Enfin, là n'est pas la question. Je les regarde toutes. Y'a douze cloportes, leur capitaine. Elle, toujours dans la flotte, semble carrément gênée. Normal, elle me connait. Enfin j'crois. Non, elle doit être chez Layca, qu'elle m'aurait déjà attaqué, sinon. Puis même, j'suis sûr de l'av... Oh merde! Je sais qui c'est! C'pas la gonzesse qui est à ma solde? J'sais plus, attends... Merde, j'crois que c'est elle... Oh chié, j'ai complètement oublié son nom. La catastrophe, dis. Bwarf, tant pis, elle le crachera bien à un moment donné. On verra. J'souris à fond. J'la gêne encore plus, ça se sent. J'adore ça. Je suis vraiment divin. J'pose la pomme. J'ai croqué dedans qu'une seule fois. J'remets le masque. C'est ma vie. Un putain de masque.

- Salut, toi.

J'fais trop pédophile. C'est voulu. Si j'pouvais tirer un coup, ce serait comique. D'autant plus que si c'est bien une de mes subordonnés, elle va se farcir une de ces réputations en rentrant... J'suis qu'un salaud. Et un salaud vicieux, par-dessus tout.

- On voit à travers, chérie.

C'est ça, d'se baigner en petite culotte. Même, ta brassière est encore toute humide. Et après, tu te défendras comme quoi t'es pas une chaudasse. J'retiens. Aller, va. J'vais pas te bouffer.
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